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Channel: SIWEL | Agence kabyle d'information
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Appel à solidarité : Un jeune militant de la cause kabyle dont la santé se dégrade en jour en jour est en situation de détresse

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TUVIRET (SIWEL) — Farid Himoum, militant de la cause kabyle se trouve dans une situation d’extrême difficulté. Son état de santé est d’une grande fragilité et sa situation médicale ne cesse de se dégrader. Un appel à la solidarité circule depuis quelques jours sur les réseaux sociaux.
Appel à solidarité : Un jeune militant de la cause kabyle dont la santé se dégrade en jour en jour est en situation de détresse
Farid Himoum, souffre d'insuffisances rénales depuis plusieurs années, son état de santé nécessite une prise en charge à l'étranger pour une transplantation rénale, une opération qui ne peut être effectuée qu'à l'étranger. Mais ce militant de la cause kabyle n’est pas Bouteflika, il ne sera donc pas envoyé au Val de Grace

L’objectif de cet appel à solidarité est de faire appel à la générosité de toute personne susceptible de compatir à la santé fragile de ce militant kabyle afin de contribuer chacun à sa mesure au coût total de cette opération et des frais médicaux qui ne sont pas dans les moyens de n’importe quel citoyen.

Ci-dessous l'intégralité du compte rendu médicale de l'intéressé, disponible aussi sur sa page Facebook.

cdb,
SIWEL 081015 FEV 16

Appel à solidarité : Un jeune militant de la cause kabyle dont la santé se dégrade en jour en jour est en situation de détresse

Appel à solidarité : Un jeune militant de la cause kabyle dont la santé se dégrade en jour en jour est en situation de détresse

Appel à solidarité : Un jeune militant de la cause kabyle dont la santé se dégrade en jour en jour est en situation de détresse

Appel à solidarité : Un jeune militant de la cause kabyle dont la santé se dégrade en jour en jour est en situation de détresse


Université de Tuvirett : Les étudiants du département de Tamazight procèdent à la fermeture de l'administration et du service de scolarité.

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TUVIRETT (SIWEL) — Les étudiants du département de tamazight à l'université de Tuvirett poursuivent leur mouvement de grève illimitée pour protester contre l'injustice de l'administration qui a lésé les stagiaires du Master1 qui refusant de leur verser leurs indemnisations de stage.
Université de Tuvirett : Les étudiants du département de Tamazight procèdent à la fermeture de l'administration et du service de scolarité.
La mobilisation grandit de plus en plus et les étudiant du département de Tamazight refusent de se laisser faire. C'est ainsi qu'aujourd"hui, les protestataires ont procédé à la fermeture de l'administration et du service de scolarité.

Pour rappel, tous les étudiants du DLCA (Département de langue et culture amazighe) ont décidé d’observer une grève illimitée avec boycott des examens du 1er semestre qui devaient débuter dimanche, et ce, en signe de solidarité avec leurs camarades de Master1 qui n’ont pas été rémunérés pour le stage qu’ils avaient effectué l’année dernière. Or, ces primes de stage devaient, selon les étudiants, être versées au mois de novembre dernier et pour des raisons qu’ils ignorent, leur dû n’a pas été versé à ce jour.

Au moment ou Tamazight est devenue soi-disant "officielle", après avoir été soi-disant "nationale" depuis plus d'une décennie, les étudiants, comme les enseignants, n'ont jamais cessé d'être considérés comme les indigènes de la nation arabo-islamique algérienne.

cdb/zp
SIWEL 081052 FEV 16

Université de Tuvirett : Les étudiants du département de Tamazight procèdent à la fermeture de l'administration et du service de scolarité.

Le MAK et l'Anavad réagissent à l'adoption de la constitution algérienne qualifiéet de "coloniale, illégale, scélérate et étrangère"

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KABYLIE & DIASPORA (SIWEL) — Le Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie (MAK) et le Gouvernement provisoire kabyle ( Anavad) réagissent dans un communiqué qu'ils ont signé conjointement. Ils dénoncent une "constitution qui déclare être l’émanation du « peuple souverain » et qui ignore et méprise avec autant de morgue les peuples qui sont censés la constituer". Le MAK et l'Anavad rappellent que "cette énième constitution algérienne demeure coloniale, illégale, scélérate et étrangère"... et que'elle est "Par voie de conséquence"... "nulle et non-avenue". Autrement dit, précise encore le communiqué "tout acte de l’Etat algérien en Kabylie, qu’il soit administratif, fiscal, judiciaire, politique ou répressif en pays kabyle est illégal." Nous publions ci-après l'intégralité du communiqué
Le MAK et l'Anavad réagissent à l'adoption de la constitution algérienne qualifiéet de
ANAVAD AQVAYLI UΣḌIL
GOUVERNEMENT PROVISOIRE KABYLE
PROVISIONAL GOVERNMENT OF KABYLIA


ALGÉRIE : LA RÉVISION DE LA CONSTITUTION

L’Algérie vient d’adopter une révision constitutionnelle en foulant aux pieds les principes élémentaires de la démocratie. Etrange constitution qui déclare être l’émanation du « peuple souverain » et qui ignore et méprise avec autant de morgue les peuples qui sont censés la constituer.

Le peuple kabyle qui, à aucun moment n’a été invité à exprimer ses véritables aspirations dont celle de son droit à son autodétermination, durant toute cette opération qui a duré pourtant près de quatre ans, ne s’en sent nullement concerné.

Pour la Kabylie qui se reconnaît dans l’Anavad et le MAK (Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie), cette énième constitution algérienne demeure coloniale, illégale, scélérate et étrangère. Par voie de conséquence, pour le peuple kabyle en marche vers sa liberté, elle est nulle et non-avenue. Autrement dit, tout acte de l’Etat algérien en Kabylie, qu’il soit administratif, fiscal, judiciaire, politique ou répressif en pays kabyle est illégal.

La Kabylie appelle les instances internationales et toutes les chancelleries du monde, accréditées ou non à Alger, à prendre acte de :

1)- la volonté et la détermination du peuple kabyle de ne pas reconnaître la constitution algérienne.

2)- l’aspiration de l’écrasante majorité du peuple kabyle à son droit à son autodétermination pour avoir sa propre constitution, son propre gouvernement pour exercer sa propre autorité sur son territoire libre et indépendant.

Le 06/02/2016

Signé : Ferhat Mehenni (président de l’Anavad) et Bouaziz Ait Chebib (président du MAK)

SIWEL 081213 FEV 16

Scandale à Paris : Violente répression contre les manifestants Kurdes devant l'ambassade de Turquie qui ont protesté contre le massacre de civils kurdes

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PARIS (SIWEL) — Suite à l'assassinat de 60 Kurdes hier soir par les forces du gouvernement islamiste de Reccep Tayyep Erdogan, le Conseil démocratique kurde en France à appelé à manifester aujourd’hui devant l'ambassade de Turquie en France à 12h. Sans doute pour ne pas contrarier "l'allié Erdogan", la protestation des kurdes contre le massacre de leur peuple par l'Etat islamiste de Turquie a été violemment réprimée par les forces de police française. Berivan, l'une des figures de proue de la résistance kurde dans la diaspora a quant à elle été embarquée. Pourtant, il est de notoriété publique que se sont les kurdes qui combattent Daech et qu'à l'inverse c'est bien le régime islamiste du président Erdogan qui aide Daech.
 Scandale à Paris : Violente répression contre les manifestants Kurdes devant l'ambassade de Turquie qui ont protesté contre le massacre de civils kurdes
Depuis plusieurs jours, les forces turques bombardent deux immeubles différents où étaient réfugiés des civils blessés. Au cours de la nuit dernière, ils sont passé à l'acte en exécutant sciemment plus de 60 civils bloqués dans les décombres de ces 2 immeubles en utilisant des armes chimiques. Les médias du gouvernement de l'AKP (TRT-News) ont annoncé ces événements comme une victoire.

Aujourd'hui, les kurdes de la diaspora ont appelé à manifester devant l'ambassade de Turquie à Paris. Ils ont été violemment réprimés par les forces de police françaises, embarquant plusieurs militants kurdes, dont la fougueuse Berivan à la tête de toutes les manifestations de la diaspora kurde en France.

Suite à la dispersion brutale des manifestants kurdes devant l'ambassade de Turquie, RDV a été donné aux manifestants à la place de la république pour rejoindre ensuite la rue d'Enghien à la maison du kurdistan.

zp,
SIWEL 081700 FEV 16

 Scandale à Paris : Violente répression contre les manifestants Kurdes devant l'ambassade de Turquie qui ont protesté contre le massacre de civils kurdes

 Scandale à Paris : Violente répression contre les manifestants Kurdes devant l'ambassade de Turquie qui ont protesté contre le massacre de civils kurdes


En allant soutenir personnellement les Kurdes à Paris, Ferhat Mehenni a eu, lui aussi, sa part de lacrymogène

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PARIS (SIWEL) — Le président de l'Anavad, Ferhat Mehenni, s'est rendu en fin d'après midi à la place de la République pour apporter le soutien de la Kabylie au peuple kurde qui subit un massacre à huis-clos de la part de l'Etat turc depuis plusieurs mois. Ferhat Mehenni a tenu à témoigner de l'amitié du peuple kabyle, de son soutien et de sa solidarité au peuple kurde qui subit un massacre à grande échelle, affrontant à la fois le terrorisme barbare de Daech, le terrorisme d'Etat de la Turquie et le silence complice des Etats et des médias dits démocratiques : "Une honte, un scandale qui en dit long sur beaucoup de choses" dira le président du Gouvernement provisoire kabyle.
 En allant soutenir personnellement les Kurdes à Paris, Ferhat Mehenni a eu, lui aussi, sa part de lacrymogène
N'ayant pas pu se libérer ce matin pour aller devant l'ambassade de Turquie et soutenir le peuple kurde face au scandaleux massacre qu'ils subit dans le silence assourdissant des médias français, le président de l'Anavad a été scandalisé par la répression des manifestants kurdes et a décidé de se rendre à la place de la république malgré les risque de se faire lui aussi réprimer.

Arrivé sur place, Ferhat Mehenni, pris entre les manifestants et les CRS qui lançaient des bombes lacrymogènes, a fini par arriver jusqu'au responsable kurde qui a pris le relais de Berivan embarquée par la police française devant l'ambassade de Turquie et mise en garde à vue... pour avoir protesté contre le massacre des siens !

Le responsable kurde a été très ému du soutien de la Kabylie et de la présence du président de l'Anavad qui est venu soutenir le peuple kurde malgré les matraques et les bombes lacrymogènes.

En effet, Ferhat Mehenni a tenu à témoigner de l'amitié du peuple kabyle, de son soutien et de sa solidarité au peuple kurde qui subit un massacre à grande échelle, affrontant à la fois le terrorisme barbare de Daech, le terrorisme d'Etat de la Turquie et le silence complice des Etats et des médias dits démocratiques : "Une honte, un scandale qui en dit long. Sachez chers amis que vous avez toute l'amitié et le soutien du peuple kabyle" dira le président de l'Anavad.

Par la suite, craignant pour sa sécurité, les responsables kurdes, après l'avoir chaleureusement remercié, ont demandé au président de l'Anavad d'aller rapidement se mettre à l'abri car la police française qui les avaient encerclés allaient encore charger pour les empêcher de rejoindre la rue d'Enghien, à la maison du Kurdistan, et qu'ils avaient bien l'intention d'y parvenir.

zp,
SIWEL 081826 FEV 16


« Nous gardons Taqvaylit et nous vous laissons Tamazight », une contribution de Slimane Hallah

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CONTRIBUTION (SIWEL) — L’Etat colonial algérien n’a officialisé la « langue amazighe » que pour accorder la primauté à la langue "ARABE" et mieux la réduire et l’assimiler à celle-ci en lui imposant la graphie de celle-ci. Depuis que l’Etat Algérien a annoncé sa volonté d’officialiser Tamazight dans des termes considérés par les leaders Kabyles comme discriminatoires et méprisants au vu de la primauté accordée à la langue arabe, les partisans de l’arabisme n’ont pas hésité à monter au créneau pour crier au scandale et brandir l’éternelle menace de la division du pays, de l’atteinte à l’unité nationale et celle du « monde arabe » et d’autres arguments archaïques.
« Nous gardons Taqvaylit et nous vous laissons Tamazight », une contribution de Slimane Hallah
J’ai surveillé d’éventuelles réactions des militants kabyles contre ces attaques et je n’en ai vu aucune, car habituellement, toute tentative anti-amazigh est immédiatement suivie par des contre-attaques des Kabyles. Cette fois-ci, aucune.

Même après le vote de cette constitution hier à Alger, je n’ai constaté aucune démonstration de joie dans les rues de Kabylie, ni tameghra (fête) ni manifestation de soutien. Cette constitution est aussi lugubre que ses précédentes.

Au début, je me suis inquiété, pensant que les forces kabyles, ont baissé les bras et accepté cette énième humiliation, mais après une brève réflexion, j’ai compris que depuis le printemps noir de 2001, l’espoir d’une fraternité de la Kabylie avec les autres s’est évaporé. La Kabylie a été laissée toute seule durant ces années de massacres. La mémoire collective est toujours présente, les parents pleurent toujours leurs enfants abattus par les gendarmes dans une impunité sidérante.

De toutes les façons, bien avant le boycott scolaire de 1994/95 et le début de l’enseignement de tamazight dans des écoles (1995), la Kabylie, après des luttes sans relâche pour faire aboutir ses revendications et amener les Algériens à partager l’amazighité pour retrouver leur véritable identité et leur dignité, avait déjà mis en place les bases élémentaires pour transférer la langue kabyle de l’oral vers l’écrit, sous le slogan : win ibɣan tamaziɣt, yissin tira-s (qui veut tamazight, apprenne à l’écrire).

Une devise chère a Mammeri. Alors, surtout depuis les années 80, des initiatives pour enseigner notre langue commençaient à voir le jour et la graphie latine a été adoptée.

Je faisais personnellement partie de cette génération ayant assuré des cours de tamazight depuis les années 90 dans le cadre de l’association culturelle Idles et je faisais partie aussi, bien avant le HCA, des bénéficiaires de la formation des formateurs. Nous l’avons enseignée à nos enfants dans des écoles alors qu’elle était interdite, c’était pour montrer que son apprentissage est possible. Pendant ce temps l’Etat colonial algérien qui se sentait fort faisait la sourde oreille et l’écrasante majorité des Algériens était orientée vers le machrek (Orient) et ne manifeste toujours aucun sentiment d’appartenance au même destin que les peuples amazighs en général et le peuple kabyle en particulier.

Le choix du caractère latin a été fait par nos ancêtres, sur des bases pragmatiques. Il fallait d’une part refuser l’arabisation par l’Etat algérien et d’autre part avoir accès à la technologie pour combler le retard que le pouvoir avait causé par la répression de l’expression culturelle et identitaire kabyle. Aujourd’hui encore, il ne renonce pas, par racisme et par colonialisme à vouloir poursuivre son crime génocidaire en tentant d’imposer qu’elle soit écrite en arabe. C’est là, un nouveau crime contre la Kabylie.

Toutefois, les Algériens qui croient que cette graphie est une invention arabe se trompent. Elle est l’œuvre des Araméens. Le persan, le malais, l’urdu, le tadjik etc… utilisent aussi la même écriture et surtout n’allez pas dire à leurs locuteurs que c’est une graphie arabe, ils vous riraient au nez !

Pour moi, c’est bien l’arabe algérien qu’il faudra écrire en Tifinagh pour être conforme au patrimoine algérien et pas Tamazight en caractères arabes. Il faut reverser le débat et jeter la balle dans l’autre camp.

Si nos prédécesseurs n’avaient pas fait le choix du tifinagh, notre écriture ancestrale, c’était parce qu’ils voyaient loin et étaient conscients que les écritures latines ne sont pas exclusivement européennes car elles étaient déjà utilisées par nos ancêtres avant notre ère. Le latin est aussi notre bien et notre patrimoine. Un travail d’aménagement a été effectué et depuis plus d’un siècle, tous les ouvrages, les romans et l’enseignement de tamazight sont réalisés en caractères latins kabylisés.

C’est Mouloud Mammeri qui doit être notre référence sur ce sujet et pas Bouteflika ou les ennemis de Tamazight. Ce sont ceux qui ont eu le courage de ne pas baisser les bras sur cette question qu’il faut écouter et pas les arabistes et nos adversaires.

Pour finir, la Kabylie a déjà sa langue Kabyle qui sera officielle sur son territoire, le kabyle. Lee choix de la graphie est déjà tranché par ses propres enfants pour lesquels cet alphabet n’est pas un étranger puisqu’il se confond avec notre Taqvaylit.

Le débat sur le choix de l’alphabet ne nous concerne pas. Si les autres Amazigh d’Algérie souhaitent écrire leur langue en caractère Araméen (dit arabe), ils sont libres, mais s’ils veulent prendre notre expérience pour gagner du temps, il est alors de notre devoir de les aider et de leur transférer notre expérience.

Nous avons taqvaylit, nous l’avons sauvée de l’oubli et nous avons réussi avec succès son transfert de l’oral à l’écrit. Que l’Etat colonial algérien garde pour lui Tamazight et lui choisir la graphie qui lui plait. Nous, nous avons taqvaylit. Elle nous suffit. Pour la protéger, nous interdisons aux racistes algériens de s’impliquer dans son avenir qu’il veut compromettre à tout prix ? Car un peuple qui préserve sa langue préserve son identité, son histoire, sa civilisation ses valeurs et son avenir de liberté,

On vous laisse Tamazight, nous avons Taqvaylit.
Slimane HALLAH le 08 Février 2016


SIWEL 091201 FEV 16


Maroc: Suite à l’assassinat odieux du jeune étudiant Omar Khalik, l'ONG Tamaynut dénonce la violence et l’extrémisme religieux dans les campus universitaire

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MAROC (SIWEL) — Dans une déclaration parvenue à notre réaction, l’Organisation non gouvernementale TAMAYNUT, fondée en 1978, a dénoncé la violence et l’extrémisme religieux dans les campus universitaire du Maroc, suite à l’assassinat odieux du jeune étudiant Omar Khalik.
Maroc: Suite à l’assassinat odieux du jeune étudiant Omar Khalik, l'ONG Tamaynut dénonce  la violence et l’extrémisme religieux dans les campus universitaire
La déclaration, signée du président du Bureau fédéral de l’organisation Tamaynut, M. A. Sabri, a tenu à préciser que la mort du jeune Omar, dit Izem, n’est pas une mort accidentelle, contrairement à ce qui est affirmé par certains cercles marocains.

En effet, ces thèses parlent d’un simple accident alors qu’ils s’agit bien d’un assassinat commis par des criminels avec la complicité de ceux qui travaillent à transformer les campus universitaire, espace destiné à produire des élites, à transmettre des valeurs de démocratie et d’équité, en espace destinés à répandre le racisme, le terrorisme et la criminalité.

zp,
SIWEL 091401 FEV 16

Nb: En pièce jointe, le communiqué en arabe de l'ONG Tamaynut


Yacine Boudia : poète et essayiste à découvrir

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WIZGAN (SIWEL) — Il s’appelle Yacine Boudia, il est né le 12 juillet 1983 à Bouzeguènne. Yacine Boudia est un poète et essayiste. Sa dernière œuvre artistique, qui contient une chanson en hommage à Ferhat M’henni, date de janvier 2016. Cette chanson est à considérer donc comme "une hymne" au profit de la personnalité de Ferhat M'henni.
http://www.siwel.info/video/
« La chanson que j’ai composée en hommage à Ferhat M’henni est enregistrée au studio de Bouzid Ouhammou de Tizi-Ouzou », nous a indiqué le jeune poète, rencontré aujourd’hui à Azazga. S’agissant des textes, ils sont en attente d’une publication. Cette œuvre est en réalité une compilation de poèmes et proses que son auteur a intitulée « I k-nnigh ». Yacine Boudia a signé sa première œuvre littéraire et poétique en 2013. Le manuscrit, déposé pourtant au niveau du HCA (haut commissariat à l’amazighité), n’a cependant pas vu encore le jour. L’année d’après, à compte d’auteur, Yacine Boudia signera une autre œuvre intitulée « Kkigh awen deg-wawal ». L’année 2015, le poète et essayiste, toujours la plume pointilleuse, a signé une autre œuvre, soit donc la troisième depuis le début de son aventure littéraire et poétique, intitulée « Aqruc d wezduz ».

https://www.youtube.com/watch?v=stA0Y8_JTWQ

Said Tissegouine


Répression des manifestants kurdes à Paris: les militants placés en garde à vue ont interdiction de se retrouver dans des faits similaires pour une durée de 3 ans

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PARIS (SIWEL) — Suite à la répression de la manifestation des kurdes hier devant l'ambassade de Turquie, plusieurs militants kurdes ont été embarqués et mis en garde à vue. Ils ont été relâchés ce soir avec interdiction d'être de nouveau pris dans des situations similaires sur une période de 3 ans sous peine de poursuites.
Répression des manifestants kurdes à Paris: les militants placés en garde à vue ont interdiction de se retrouver dans des faits similaires pour une durée de 3 ans
Il est à noter que l'Etat d'urgence constitue une bonne excuse pour empêcher les kurdes de protester contre le massacre de leur peuple par le gouvernement islamiste d'Ankara.

Toutefois, selon des manifestants kurdes sur place, certains éléments des forces de police françaises avaient éprouvés quelques réticences à réprimer le vaillant peuple kurde qui combat héroïquement Daech alors que le président Turc est plus que soupçonné d'être un allié objectif de ce même Daech.

ck/zp,
SIWEL 092130 FEV 16

Ci-après, quelques photos et une vidéo de la manifestation devant l’ambassade de Turquie et sa répression


Répression des manifestants kurdes à Paris: les militants placés en garde à vue ont interdiction de se retrouver dans des faits similaires pour une durée de 3 ans

Répression des manifestants kurdes à Paris: les militants placés en garde à vue ont interdiction de se retrouver dans des faits similaires pour une durée de 3 ans

Répression des manifestants kurdes à Paris: les militants placés en garde à vue ont interdiction de se retrouver dans des faits similaires pour une durée de 3 ans

Répression des manifestants kurdes à Paris: les militants placés en garde à vue ont interdiction de se retrouver dans des faits similaires pour une durée de 3 ans

Répression des manifestants kurdes à Paris: les militants placés en garde à vue ont interdiction de se retrouver dans des faits similaires pour une durée de 3 ans

Répression des manifestants kurdes à Paris: les militants placés en garde à vue ont interdiction de se retrouver dans des faits similaires pour une durée de 3 ans

http://www.siwel.info/video/

FRANSADA POLİS TERÖR ESTİRDİFransa'nın başkenti Paris'te, Fransa Demokratik Kürt Konseyi'nin çağrısıyla Kürdistanlılar ve Türkiyeli devrimci kurum üyeleri Türkiye'nin Paris Büyükelçiliği önünde eyleme yapti. Cizre'de yaşanan katliamı protesto eden dövizlerin taşındığı eylemde, 'Katil Türkiye, işbirlikçi Avrupa' sloganı atildi.Paris Büyükelçiliği önünde kitle, saat 12:00’de bir araya geldi. Eylem yoğun polis kontrolünde devam ederken eylemciler Fransa'ya seslenerek, "Bu insanlık suçu karşısında sessizliğiniz ortaklığınızdır" dedi.Daha sonra protesto eylemine saldıran Fransız polisi çok sayıda eylemciyi gözaltına alarak terör estirdi.

Posté par Fransa'da Yaşam sur lundi 8 février 2016

Le MAK dénonce la répression des manifestants kurdes à Paris

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PARIS-DIASPORA (SIWEL) — Dans un communiqué rendu publique ce soir, le Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie (MAK) a condamné " l'indigne répression des forces de police françaises contre les militants kurdes qui protestaient hier devant l’ambassade de Turquie à Paris contre le massacre des civils kurdes dans les régions kurdes de Turquie". La déclaration, signée du porte parole à l’étranger du Mouvement souverainiste kabyle considère que " c’est en toute connaissance de cause que les Etats européens soutiennent le Gouvernement criminel du président Erdogan alors que les convergences d’intérêt de ce dernier avec l’organisation terroriste de l’Etat islamique sont de notoriété publique". Nous publions ci-après l'intégralité de la communiqué de soutien et de solidarité du MAK avec le peuple Kurde
Le MAK dénonce la répression des manifestants kurdes à Paris
AFRANIMAN I TMURT N YIQVAYLIYEN
MOUVEMENT POUR L’AUTODÉTERMINATION DE LA KABYLIE
M A K


Communiqué de soutien et de solidarité avec le peuple Kurde

Le Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie condamne l'indigne répression des forces de police françaises contre les militants kurdes qui protestaient hier devant l’ambassade de Turquie à Paris contre le massacre des civils kurdes dans les régions kurdes de Turquie. Ce massacre qui se déroule à huis-clos et dans le silence complice des grandes démocraties occidentales a atteint son point culminant avec l’exécution de 60 civils kurdes bloqués dans les décombres de deux immeubles bombardés par les forces du gouvernement islamiste d’Ankara.

Le MAK s’incline à la mémoire des victimes et compatit à la douleur des familles et du peuple kurde, à la fois victime de la barbarie de Daech et du Gouvernement Erdogan, mais aussi et surtout du silence complice des démocraties occidentales qui se vantent d’être les dépositaires universels des droits de l’Homme et de la paix dans le monde.

Dans les faits, c’est en toute connaissance de cause que les Etats européens soutiennent le Gouvernement criminel du président Erdogan alors que les convergences d’intérêt de ce dernier avec l’organisation terroriste de l’Etat islamique sont de notoriété publique, notamment en ce qui concerne l’éradication des forces kurdes qui constituent les seuls réels obstacles à l’expansion de Daech. Concrètement, les Etats occidentaux de la coalition contre l’Etat islamique qui prétendent combattre Daech renforcent son principal allié dans la région : la Turquie du président islamiste Erdogan.

D’autre part, le MAK condamne le silence abject des médias européens, et plus particulièrement des médias français, qui acceptent de camoufler ces massacres par leur silence volontaire. Leur refus de traiter l’actualité macabre du peuple kurde n’est rien d’autre qu’une complicité assumée qui contribue à renforcer la politique criminelle du président turc.

Le MAK condamne également le silence indigne de l’ONU ; une organisation inapte à défendre le droit, la justice et l’équité, incapable de défendre les intérêts des peuples et des populations civiles quand elle n’aggrave pas carrément leurs dramatique situation, notamment en faisant valoir les droits d'Etats illégitimes contre les droits des peuples légitimes, ou en élisant des Etats criminels, adeptes de la décapitation à grande échelle, au Conseil onusien des droits de l’homme.

Le silence immoral du monde dit libre face à tant de crimes et d’injustices est sans aucun doute possible un signe avant-coureur de sa propre décadence.

Le MAK, solidaire de la lutte des peuples épris de justice et de liberté, réitère son soutien et son amitié au peuple kurde et l’assure de sa pleine solidarité en ces terribles circonstances.

Paris le 09/02/2016

Yasmina Oubouzar
Porte-parole du MAK à l’étranger


SIWEL 092346 FEV 16


AGHRIV : 44 militants du RCD démissionnent d'un parti désormais «réduit à un club d’amis, voire à un registre de commerce au profit d’un seul homme», dénoncent les signataires

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AGHRIV (SIWEL) — Coup dur pour le RCD qui enregistre la démission de 44 militants, tous issus des Aghribs dont est originaire Sadi Sadi. En effet, dans une déclaration parvenue à notre rédaction, les 44 militants annoncent démissionner collectivement du RCD pour se «démarquer définitivement des structures locales, régionales et nationales du RCD» en dénonçant, entre autre, "la délinquance politique" dans laquelle "se débat" leur ancien parti. Nous publions ci-après l’intégralité de la déclaration reçue ainsi que les photos jointes pour son illustration
AGHRIV : 44 militants du RCD démissionnent d'un parti désormais «réduit à un club d’amis, voire à un registre de commerce au profit d’un seul homme», dénoncent les signataires
Nous (44) militantes et militants du RCD section des Aghribs,(coordination), signataires de la présente déclaration, rendons publique notre décision de nous démarquer définitivement des structures locales, régionales et nationales du RCD, et dénonçons “la gestion catastrophique antidémocratique” et l’état de déliquescence et “délinquance politique” dans lequel se débat le parti, réduit aujourd’hui à un club d’amis, voire à un registre de commerce au profit d’un seul homme.

Pour rappel, au mois d’octobre dernier, 56 camarades, (de notre section), avaient pris la décision de démissionner du parti, aujourd’hui, nous, avons décidés de rejoindre nos camarades et mener notre combat ensemble.
Partageant ce sentiment, nous avons décidé d’assumer notre responsabilité, en voulant donner forme à cet élan de réappropriation du projet démocratique, et c’est cette profonde conviction qui anime notre action et nous donne la force pour aller de l’avant.

Les dysfonctionnements internes, marqués par des purges arbitraires successives, ayant fini par vider le parti de ses compétences et privilégiant la promotion de la médiocrité ; la violation récurrente des textes régissant le fonctionnement du parti, le mépris envers les militants sincères et la promotion des étrangers (qui ont déjà trahi le Rassemblement) à des postes de responsabilité locale et régionale sont autant de raisons qui démotivent un nombre grandissant de militants et les poussent à quitter les rangs du parti.

S’il est vrai que ces pratiques ne sont pas propres à la section d’Aghribs, notre localité en a particulièrement souffert, à cause notamment de la mauvaise gestion et des pressions exercées pour imposer le projet d’implantation d’un centre d’enfouissement technique dans la forêt des Bouhlalou.

Un virage à droite pris dernièrement par la direction nationale, sans concertation, ni débat interne.
En effet, la direction du parti s’est systématiquement alignée du côté de l’administration au détriment de la population qui, elle, rejetait dans sa majorité le projet d’implantation du CET. Pis encore, au lieu de participer à l’apaisement et à l’encouragement du débat initié par le collectif des citoyens d’Aghribs, la direction a excellé dans la manipulation, l’invective, la menace et la propagation de la haine au sein de la population. L’appareil politique du RCD a été dépêché afin de terroriser la population et lui faire accepter ce projet dévastateur, à plus d’un titre. Aussi, la couverture médiatique de cette affaire a-t-elle, malheureusement, été entachée d’un parti-pris flagrant de certains journalistes manipulés par la direction, faisant ainsi fi des règles de l’étique et de la déontologie du métier.

Devant le mépris et l’autisme de cette direction et l’absence de toute autorité d’arbitrage fiable, nous avons pris la décision de démissionner de toutes les structures du parti, tout en réitérant notre engagement, solennel et réfléchi, pour sauvegarder notre combat pour la démocratie, pour lequel tant de militants se sont sacrifiés, et en inscrivant notre action dans une perspective de mobilisation visant à rassembler toutes les énergies que recèle le camp démocratique.

Aghribs, le 09 février 2016

Ci-après la liste (sur 2 pages) des 44 militants ayant émargées la lettre de démission collective.

AGHRIV : 44 militants du RCD démissionnent d'un parti désormais «réduit à un club d’amis, voire à un registre de commerce au profit d’un seul homme», dénoncent les signataires

AGHRIV : 44 militants du RCD démissionnent d'un parti désormais «réduit à un club d’amis, voire à un registre de commerce au profit d’un seul homme», dénoncent les signataires
SIWEL 101258 FEV 16

Azeffoun : Les commerçants protestent contre le terrorisme fiscal et administratif

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AZEFFOUN (SIWEL) —Ce matin, les commerçants de la ville d'Azeffoun ont baissé rideaux en signe de protestation contre le marasme social. Cette ville de Kabylie maritime souffre effectivement de toute sorte de problèmes : problème d’alimentation en eau, coupures récurrentes d’électricités, dégradation de l‘état des routes et absence d'un service digne de ce nom au niveau des caisses d’assurances où tout est centralisé au niveau de Tizi-Ouzou. Les protestataires dénoncent non seulement l’incompétence des services publics algériens mais aussi et surtout le terrorisme fiscal et administratif exercé contre toute activité commerciale en Kabylie.
Azeffoun : Les commerçants protestent contre le terrorisme fiscal et administratif
En effet, l’administration algérienne qui est déjà par définition inefficace, pour ne pas dire défectueuse, prend des allures dramatiques en Kabylie où elle est couplée à une haine féroce de tout ce qui est kabyle.

Par ailleurs l’Etat algérien taxe de manière outrancière et inéquitable la Kabylie alors qu'elle ne bénéficie d’aucun investissement d’aucune sorte de la part de l'Etat algérien, en dehors de l'installation du terrorisme islamiste dans ses montagnes, du racket et du kidnapping de ses opérateurs économiques et bien sur de la construction de casernes militaires, de brigades de gendarmerie et de police.

Quant aux ressources naturelles de la Kabylie, tel que l'eau en particulier elle est tout bonnement détournée pour l'usage des grandes villes limitrophes alors que les Kabyles souffrent de problèmes récurrents d'eau.

cdb/zp,
SIWEL 101647 FEv 16

Tuvirett : les étudiants du département de langue et culture Tamazight poursuivent leur grève.

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TUVIRETT (SIWEL) — En grève illimitée depuis plus d'une semaine, les étudiants du département de langue et culture Amazigh de l'université de Tuviret poursuivent leur mouvement de protestation concernant les primes de stage de leurs camarades du Master 1 ...
Tuvirett : les étudiants du département de langue et culture Tamazight poursuivent leur grève.
Jusqu'à présent l'administration a opposé un mépris qui déshonore davantage l'Etat colonial algérien.

Devant cette indifférence des autorités concernées, les étudiants ont décidé de ne pas baisser les bras jusqu'à l'aboutissement de leurs revendications qui sont justes et légitimes.

D'autres action de protestation seront organisées dans les jours à venir.

Affaire à suivre...

gn/zp,
SIWEL 111053 FEV 16


"La France vaut 200 fois l'Algérie", une Contribution de Juba Yazid

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CONTRIBUTION (SIWEL) — Enfin une réponse pour ceux qui se demandent où va l’Algérie, la réponse est claire l’Algérie est actuellement classée parmi les pays les plus pauvres au monde suite a la chute des prix des hydrocarbure dont 98% de l’économie algérienne vient de cette ressource, ce qui cause la chute du dinar à 200 pour 01 €, ceci dit la France vaut 200 fois l’Algérie.
Cette crise dont l’Algérie se noie aujourd’hui a été prédite il y a des années par le président de l’Anavad monsieur Ferhat MEHENNI dans « l’Algérie à 20ans », elle ne diffère d’aucune façon avec celle qu’il a décrit.

L’Algérie d’aujourd’hui comme celle de tous les temps n’est qu’une communauté de la puissante république française qui là inventé en 1839, ni l’Algérie algérienne ni l’Algérie arabe n’a réellement existé.

Il n’y a que l’Algérie française déguisée en voile arabo-islamique, en détriment des enfants de la nation, et pour preuve, un simple maire français Alain Juppé de Bordeaux vient pour une visite officielle et rencontre le président algérien.

Du jamais vu. Ceci ne se passe même pas dans des Etats fédéraux ou autonomes, un gouverneur dans un Etat fédéral comme les Etats Unis d’Amérique n’est pas autoriser a faire des affaires externes avec des pays dans le monde.

Comment se fait il qu’un maire en France peut faire affaire avec l’Algérie si cette dernière n’est pas dépendante de la mère/patronne ?

Quel intérêt aurait l’Algérie de faire affaire avec un maire ? Comment se fait il que la France n’est pas intervenu pour rompre cette rencontre pour cause de sécurité nationale ?

Un maire algérien peut il faire affaire avec François Hollande ?... Mais avant de poser cette question, il faudra d’abord se demander si un maire algérien obtiendrait un visa pour aller en touriste en France?!

Juba YAZID

SIWEL 111300 FEV 16

« Agurzil. Le dieu Impie », parution aujourd'hui du roman de la jeune auteure Chaoui, Tiziri T. Wuming

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CUILTURE (SIWEL) — Tiziri T-Wuming est une jeune scientifique Chaouie, très tôt confrontée aux revendications identitaires de son peuple. Passionnée par l'écriture et la recherche scientifique, par l'histoire et la linguistique qui occupent la majeure partie de son temps, poétesse, elle nous livre aujourd'hui ce roman captivant, selon le mot de l'éditeur ...
« Agurzil. Le dieu Impie », parution aujourd'hui du roman de la jeune auteure Chaoui, Tiziri T. Wuming
Le mot de l'éditeur:

« Le dieu Ammon est trahi. Sa prêtresse a déserté son temple et renié son culte. Pour la punir, il lui confie le pire des fardeaux : élever son fils unique Agurzil selon ses propres méthodes et exigences.Mais rien ne se passera comme prévu et les projets du dieu se retrouveront très vite contrariés.

Epris d’affection pour les faibles mortels, ainsi que pour ses parents humains, le jeune Agurzil se détourne peu à peu des desseins royaux de son père, avant de plaider ouvertement son opposition à son autorité. Il part, ensuite, en croisade contre la terrible déesse Ifridans un long périple qui le mènera aux quatre coins de Tamazgha.

Sortira-t-il vainqueur des multiples pièges de la vindicative déesse ou, au contraire, perdra-t-il la bataille et se rangera-t-il, à son cœur défendant, du côté des dieux qu’il maudissait ?

Quelle aura été sa destinée ? »

mh/zp,
SIWEL 111329 FEV 16

Source Fnac


Le Maroc enterre la politique d’arabisation ?

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MAROC (SIWEL) — Conscient des ravages de l'arabisation des sociétés nord-africaines, le Maroc a décidé de mettre fin à 3 décennies de politique d'arabisation. En dépit de l'opposition de son propre chef du Gouvernement, le ministre marocain de l'éducation a fait passer ses réformes, visiblement avec l'appui du Roi Mohamed VI. En effet, pour le Gouvernement Benkiran, et son parti au pouvoir d'obédience islamiste, la réintroduction du français dès la première année primaire équivaut quasiment à une déclaration de guerre contre la langue arabe "sacrée"
Le Maroc enterre la politique d’arabisation ?
Rachid Belmokhtar, le ministre marocain de l'éducation, a présenté son plan de sauvetage de l’enseignement public.

Sa stratégie, étalée sur quinze ans sonne le glas de la politique d’arabisation lancée il y a trois décennies. Il semble avoir définitivement gagné sa bataille contre l'islamiste, et non moins chef du gouvernement marocain, Benkirane.

Le conseil des ministres marocains du 6 janvier tenu à Laâyoune, et présidé par le roi Mohammed VI, a entériné le choix de la "mise en place de l’enseignement des matières scientifiques et techniques en français". La nouvelle avait déjà été rendue public le 10 octobre dernier dans une circulaire adressée aux directeurs des académies marocaines.

Comme attendu, cette décision avait évidemment été très vivement décriée par les partisans de la langue arabe, et à leur tête le chef du gouvernement, Benkirane appuyé par sa formation politique islamiste,le PJD qui est rappelons-le au pouvoir au Maroc.

Sans l'appui du Roi Mohamed VI, il est évident que le ministre marocain de l'éducation n'aurait jamais pu faire passer sa réforme de l'éducation qui est ce que l'on pourrait appeler un début de "marche arrière toute" de la désastreuse politique d'arabisation, source de tant de ravages...

Mais, n'est-il pas déjà trop tard ?!!! ... quand on voit comment des pans entiers des sociétés nord-africaines en perte d'identité, s'identifient corps et âmes à ces "étrangers du moyen-orient", adoptant leur langue, leurs us, leurs coutumes, leurs étendard, leur histoire et même leur origine...

Source Yabiladi

SIWEL 121139 FEV 16

A Paris, "On nous a carrément installés devant la porte de l'ambassade de Turquie avec les menottes aux bras. " témoigne Berivan Firat du Conseil Démocratique kurde en France

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PARIS-DIASPORA KURDE (SIWEL) — Nous livrons à nos lecteurs le témoignage de Berivan Firat, animatrice de la manifestation du Conseil démocratique des Kurdes en France au Journal russe francophone Sputniknews. Elle raconte le déroulement et la répression de la manifestation pacifique organisée par des kurdes à Paris, à proximité de l’Ambassade de Turquie, pour dénoncer le massacre de 60 civils kurdes dans la ville de Cizre. Elle raconte entre autre comment "Ils ont été menottés et amenés juste devant la porte de l'Ambassade Turquie". Comment, ils les ont laissés rester "plus d'une quarantaine de minutes menottés devant la porte de l'Ambassade de Turquie" !, "Je pense", dit Bérivan, "je suis même certaine, que de cette façon ils ont voulu donner le message à l'ambassade Turque lui disant : « on les a arrêtés, ils sont là, et voilà on vous les présente là devant vous » " "On nous a carrément installés devant la porte de l'ambassade de Turquie avec les menottes aux bras. " Voici son l’intégralité de son témoignage
A Paris,
« ... Lundi 8 février nous nous sommes rassemblés, rue Lamballe métro Passy, à proximité de l'Ambassade de Turquie, pour dénoncer le massacre de 60 civils dans la ville de Cizre.

Je voudrais souligner que ces civils étaient depuis plus de deux semaines réfugiés dans une cave, et malgré que nous ayons demandés, malgré que les familles, les avocats de Turquie aient demandé à la Cour européenne des droits de l'homme de prendre une décision urgente pour que les ambulances puissent aller récupérer ces blessés, que la Turquie arrête ces bombardements. Rien n'a été fait…

Donc le lundi, ces gens ont été massacrés et très certainement avec des armes chimiques parce qu'il n'y avait aucune trace de balles, plutôt des brûlures, mais les vêtements sont en places donc ils ont été massacrés à l'arme chimique….

Et pour dénoncer cela nous avons organisé une manifestation autorisée, je voudrais le souligner, qui était autorisée place à proximité de l'Ambassade de Turquie, à peu près 300 mètres juste en dessous…

Et donc quand nous sommes arrivés, généralement la police met des barricades juste à l'emplacement pour nous empêcher d'avancer vers l'Ambassade, mais là, la place était ouverte, ils étaient placés beaucoup plus haut, donc nos responsables ont demandés et ils nous ont dit qu'on pouvait se rassembler rue Lamballe pour manifester…

Donc nous avons commencé notre manifestation, en ayant notre propre groupe de sécurité, de gens pour empêcher justement des débordements ou même des agressions externes…

A Paris,
J'étais l'animatrice de la manifestation, et étant un peu souffrante j'ai même à plusieurs reprises donné le micro à une autre amie pour souffler un peu, je revenais, je repartais…

Et à un moment donné, ils auraient fait l'appel (moi je n'ai pas entendu) de reculer vers place de Pérou, je crois si je ne me trompe pas…enfin, à peu près une centaine de mètres plus bas, mais moi je n'ai rien entendu.

J'étais parmi les manifestants et je me suis senti happée, c'est-à-dire tirée de toutes forces par des policiers, et en quelques secondes, je me suis retrouvée à terre avec 3 policiers essayant de faire je ne sais pas quoi. Je n’ai pas compris parce que ça été tellement vite !...et à un moment donné, j'ai perdu connaissance…

Quand je suis revenue à moi, j'étais couverte de sang, j'avais mon pantalon qui était complètement couvert de sang, j'étais en état de panique, donc je ne comprenais pas, et après on m'a dit non ce n'est pas votre sang c'est celui de quelqu'un d'autre...

Et j'ai vu un camarade, du nom de Morad qui était allongé sur le ventre les mains menottés dans le dos, qui saignait, on peut dire qui pissait le sang. Il avait vu plusieurs policiers sur moi et il était venu pour me protéger. Il a donc été très violemment agressé. il a eu trois fractures à la tête, l'arcade sourcilière et tout ça…

A Paris,
Au final ils ont arrêtés 25 personnes. Ils nous ont menottés. Ils nous ont amenés juste devant l'Ambassade de Turquie, devant la porte de l'Ambassade Turque!

Nous sommes restés plus d'une quarantaine de minutes menottés devant la porte de l'Ambassade Turque !...

Je pense, je suis même certaine, que de cette façon ils ont voulu donner le message à l'ambassade de Turque en lui disant « on les a arrêtés, ils sont là, et voilà on vous les présente là devant vous ».

On nous a carrément installés devant la porte de l'ambassade Turque avec les menottes aux bras.


Au final nous étions donc 25 à être placé en garde à vue et 14 à être amené dans un commissariat du côté de Châtelet, l'hôtel Dieu, et de toute manière, tout le long de la route, nous avons été victimes d'insultes, d'injures, du genre de menaces : vous feriez ça en Turquie ?!; ou des choses assez vulgaires…

Les insultes ont continué aussi au commissariat, on nous a présenté des procès-verbaux de garde à vue quand personnellement j'ai voulu le lire j'ai dit je le lis avant de le signer, l'officier qui était de service, une dame, m'a dit «tu me casses les couilles !!! Elle refuse de signer !» , Puis elle est partie…

A Paris,
Donc c'était des humiliations. On était considéré comme si on avait commis un crime. On nous a accusé de « refuser d'obtempérer à une demande de dispersement » alors que personnellement, moi, je n'ai même pas entendu cette soit disant somation.

J'ai appris par la suite par les organisateurs qu'ils avaient demandé à ce qu'on se déplace à une centaine de mètre plus bas, place de Bolivie, (ça y est je me rappelle du nom). Pendant que les organisateurs essayaient de faire bouger les manifestations, ils ont attaqué et tout à débordé !... et après, ils nous ont très violemment placés en garde à vue.

Nous avons été pendant 24 heures détenus en garde à vue, privé de notre liberté, pour avoir dénoncé le massacre des civils à l'arme chimique par l'Etat turc; la Turquie, je souligne qui est la deuxième armée de l'OTAN, qui est aussi payée, financée par l'Europe pour soit disant contenir les réfugiés qui viennent d'Irak et de Syrie, cette Turquie massacre le peuple kurde devant le silence complice, c'est de la complicité active de l'Occident, de l'Union Européenne et même de la France. !

L'Union Européenne, la Cour Européenne des Droits de l'Homme refuse de voir qu'il y a un peuple qui est en train de se faire massacrer…

On déclare qu'il s‘agit de combattants ou de résistants kurdes, et nous, et moi, je dis, en toute honnêteté, clairement, même s'il s'agit de combattants kurdes, des gens qui sont blessés ont comme chacun, comme tout être humain, droit aux soins, ce n'est pas parce que ce sont des militants, ou parce que soit disant des combattants qu'ils doivent être exécutés ou tués à l'arme chimique ?!!! ...

Que, dans tous les cas, dans la ville de Cizre, il n'y a pas de combattants du PKK. Il s'agit de civils qui (certains) ont été obligés de prendre les armes pour se défendre contre la barbarie turque.

Et voilà la situation !…

Je dénonce par cela le comportement des forces de l'ordre française qui nous ont très violemment chargés le corps, j'ai le corps couvert d'ecchymoses, j'ai une luxation de l'épaule, j'ai été victime de deux malaises graves… J'ai donc dû être amené à l'hôpital, en plus de cela, des humiliations en tant que femmes !... Ce sont des choses que je trouve indignes de la France, de la France que j'aime, de la France que je connais…

… Et encore une fois, je dénonce la barbarie de l'État fasciste turc !

Je souligne que les massacres et les blocus sur les villes kurdes comme Cizre continuent, des massacres ont lieu actuellement, les civils kurdes crient à l'aide, demandant de l'aide, encore là ! Actuellement !... il y a encore des gens confinés, enfermés dans des caves, qui attendent les secours…Des gens qui meurent de faim et de soif, en pleine ville, à cause du blocus de l'Etat fasciste Turque.

Je dis encore une fois, si la Turquie, un Etat fasciste, est coupable de commettre un génocide sur son peuple, l'Occident, l'Union Européenne et la France, est tout aussi complice de par leur silence ! Car si on ne dénonce pas, on est complice ! C’est clair et net.

Et c'est tout ce que je voulais dire ... »

Source Sputniknews

SIWEL 121218 FEV 16

Marguerite-Taos Amrouche : La première femme romancière kabyle

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CULTURE (SIWEL) —Marie-Louise, dite Marguerite Taos Amrouche, née le 4 mars 1913 à Tunis, morte à l'âge de 63 ans, le 2 avril 1976 à Saint-Michel-l'Observatoire, est une artiste kabyle, première romancière kabyle d'expression française et également grande interprète de très anciens chants traditionnels kabyles. Elle est la fille de Fadma At Mansour Amrouche, auteure du livre autobiographique "Histoire de ma vie" et la sœur de Jean-Lmuhuv Amrouche, auteur, entre autre, de "l’éternel Jugurtha"...
Marguerite-Taos Amrouche : La première femme romancière kabyle
Taos Amrouche est issue d'une famille kabyle christianisée du temps de l'Algérie-colonie française. Ses parents, Antoine-Belkacem Amrouche (1880-1958) et Marguerite-Fadma At Mansour (1882-1967) sont tous deux des Kabyles convertis au catholicisme dans leur jeunesse, avant leur mariage en 1898.

Après avoir vécu chez les parents de Belkacem à Ighil Ali, où Jean Amrouche est né en 1906, les Amrouche quittent la Kabylie et s'installent à Tunis en 1910, où est née Marie-Louise, dite Marguerite-Taos. C'est à Tunis que la famille Amrouche obtient la nationalité française.

De 1933 à 1940, Marguerite-Taos travaille pour Radio Tunis. Elle participe au congrès de chants de Fès au Maroc et obtient une bourse pour Madrid où elle se met alors à la recherche des survivances berbères dans le folklore ibérique. En 1966, elle est invitée au Festival des arts “nègres” où elle obtient le prix de la musicologie.

Taos Amrouche œuvre inlassablement pour sauver de l'oubli le patrimoine culturel qui lui a été légué à travers plusieurs œuvres littéraires, musicologique, comme elle a participé à la fondation de l’Académie Berbère, Agraw Imazighen avec feu Mohend Arav-Bessaoub. C'est d'ailleurs ainsi que la fameuse Académie berbère avait prit naissance le 14 juin 1966 à Paris, lors d'une réunion au domicile de Taos Amrouche.

Son premier roman, Jacinthe noire, est publié en 1947. Son œuvre littéraire, au style très vif, est largement inspirée par la culture orale de Kabylie dont elle est imprégnée par l'influence de sa mère, mais aussi par son expérience de femme.

En signe de reconnaissance envers sa mère, qui lui a transmis tant de chansons, contes et éléments du patrimoine oral, en 1965, elle signe "Le Grain magique"; un recueil de poèmes, proverbes, contes et légendes berbères de Kabylie.

Parallèlement à sa carrière littéraire, elle interprète de très nombreux chants kabyles. Ces textes sont par ailleurs traduits par son frère Jean.

Douée d'une voix exceptionnelle, elle se produit sur de nombreuses scènes, comme au Festival des Arts Nègres de Dakar en 1966.

Seule l'Algérie lui refuse le droit à l'existence : elle n'est pas invitée au Festival culturel panafricain d'Alger en 1969. Elle s'impose difficilement et s'y rend tout de même.

Grâce aux militants berbéristes de l'époque, notamment le futur réalisateur kabyle de la Colline Oubliée, Abderahmane Bouguermouh, elle réussit à échapper à la vigilance de ses gardiens et arrive à aller chanter devant les étudiants kabyles d'Alger.


Œuvres littéraires de Marguerite-Taos Amrouche:

- Jacinthe noire, roman, 1947.
- Le Grain magique, recueil de contes et de poèmes, 1966.
- Rue des tambourins, roman, 1969.
- L'Amant imaginaire, roman autobiographique, 1975.
- Solitude ma mère, roman posthume, 1995.


Œuvres discographique de Marguerite-Taos Amrouche

Chants berbères de Kabylie, 1967, Grand prix du disque.
Chants de processions, méditations et danses sacrées berbères, 1967.
Chants de l'Atlas, 1971.
Chants espagnols archaïques de la Alberca, 1972.
Incantations, méditations et danses sacrées berbères, 1974.
Chants berbères de la meule et du berceau, 1975.

Diverses sources

SIWEL 121656 FEV 16

Alerte : Disparition inquiétante à Suqq Letnin

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ASQIF N TMANA (SIWEL) — Amaouche Kaissa, âgée de 25 ans, étudiante en 3eme année au Campus d'Abudau de l'université de Vgayet, est portée disparue de son domicile familial sis à Suqq Letnin depuis la matinée du mercredi 10/02/2016.
Alerte : Disparition inquiétante à Suqq Letnin
Un avis de recherche dans l'intérêt des familles a été immédiatement émis par ses proches sur les réseaux sociaux en priant ceux qui l'aperçoivent ou possèdent des renseignements à son sujet de contacter le numéro suivant : 07 81 66 95 26

wbw
SIWEL 130111 FEV 16

Paris : Conférence-débat de Ferhat Mehenni ce dimanche au Royal Est

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DIASPORA (SIWEL) — Le président du Gouvernement provisoire kabyle en exil (Anavad), mas Ferhat Mehenni, animera une conférence suivie d’un débat ce dimanche 14 février à partir de 17h00 à la prestigieuse brasserie parisienne "Le Royal Est".
Paris : Conférence-débat de Ferhat Mehenni ce dimanche au Royal Est
Le thème sera autour de son dernier ouvrage « Noël en Otage » édité par les éditions Michallon et dans lequel il relate ce qu'il a vécu en tant que témoin direct de la prise d’otage par quatre membres du Groupe islamique armé (GIA) de l’Airbus A300 d'Air France reliant Alger–Paris le 24 décembre 1994.

Une vente-dédicace sera assurée à la fin par le chef de l'exécutif kabyle en exil.

Adresse : 129 Rue du Faubourg Saint-Martin, dans le 10ème arrdt de Paris
Bus/Métro : Gare de l'Est

zb/wbw
SIWEL 130209 FEV 16

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